Engagé dès 15 ans dans la Marine Nationale, Nicolas Gudemard a travaillé 3 ans et demi avec l'objectif d'être mécano sous-marinier. Finalement il ira à la DCNS de Cherbourg pour gonfler des bouteilles pour les fusiliers marins. Après cela, Nicolas rejoint l'entreprise de son père. C'est à 28 ans qu'il se lance à son compte, par besoin.
L’entreprise EPM est spécialisée dans la pose de bardage et de couverture métallique en sous-traitance. Si Nicolas sillonne toute la France grâce au bouche-à-oreille, il intervient également dans les Côtes-d'Armor. Il a obtenu le chantier de l’hôpital de Plérin ou encore celui du nouveau gymnase du lycée Félix Le Dantec à Lannion. Ce qui l'anime, ce sont les nouvelles conceptions et les nouvelles poses de matériaux.
Si la valeur travail est très importante pour Nicolas, il comprend depuis peu qu'il faut apprendre à lever la tête et à faire autre chose. Lui qui se vend tous les mois pour avoir des chantiers, lui qui se caractérise comme un tâcheron car il est payé à la tâche, il prend enfin du temps pour lui. Rock, cha-cha-cha et danses latines (kizomba, salsa) rythment ces soirées depuis 8 ans. Nicolas s'est également instauré une tradition : se faire plaisir une fois par an. Après le bateau, 2021 était l'achat d'une moto.
Et puis il y a « sa 1ère entreprise, la famille ! ». Le vendredi, il le consacre à ses petits-enfants.
Très curieux, Nicolas ne peut pas aller quelque part sans visiter une église : « derrière chaque pierre il y a de la sueur, une histoire ». Il est admiratif de ce que peut faire une main, du savoir-faire de nos anciens.
Pour Nicolas, le Club des entreprises, c'est du lien avec des gens à qui tu n'as rien à prouver. C'est une récré pour adulte, un endroit où tu n'as pas de stress. Il a beaucoup apprécié la conférence d'Olivier TORRES, "Entreprendre c'est bon pour la santé" ; ce monsieur avait tout compris.
Engagé dès 15 ans dans la Marine Nationale, Nicolas Gudemard a travaillé 3 ans et demi avec l'objectif d'être mécano sous-marinier. Finalement il ira à la DCNS de Cherbourg pour gonfler des bouteilles pour les fusiliers marins. Après cela, Nicolas rejoint l'entreprise de son père. C'est à 28 ans qu'il se lance à son compte, par besoin.
L’entreprise EPM est spécialisée dans la pose de bardage et de couverture métallique en sous-traitance. Si Nicolas sillonne toute la France grâce au bouche-à-oreille, il intervient également dans les Côtes-d'Armor. Il a obtenu le chantier de l’hôpital de Plérin ou encore celui du nouveau gymnase du lycée Félix Le Dantec à Lannion. Ce qui l'anime, ce sont les nouvelles conceptions et les nouvelles poses de matériaux.
Si la valeur travail est très importante pour Nicolas, il comprend depuis peu qu'il faut apprendre à lever la tête et à faire autre chose. Lui qui se vend tous les mois pour avoir des chantiers, lui qui se caractérise comme un tâcheron car il est payé à la tâche, il prend enfin du temps pour lui. Rock, cha-cha-cha et danses latines (kizomba, salsa) rythment ces soirées depuis 8 ans. Nicolas s'est également instauré une tradition : se faire plaisir une fois par an. Après le bateau, 2021 était l'achat d'une moto.
Et puis il y a « sa 1ère entreprise, la famille ! ». Le vendredi, il le consacre à ses petits-enfants.
Très curieux, Nicolas ne peut pas aller quelque part sans visiter une église : « derrière chaque pierre il y a de la sueur, une histoire ». Il est admiratif de ce que peut faire une main, du savoir-faire de nos anciens.
Pour Nicolas, le Club des entreprises, c'est du lien avec des gens à qui tu n'as rien à prouver. C'est une récré pour adulte, un endroit où tu n'as pas de stress. Il a beaucoup apprécié la conférence d'Olivier TORRES, "Entreprendre c'est bon pour la santé" ; ce monsieur avait tout compris.